Chet Baker — Déploration de Zéno Bianu
J’avais fait référence à ce livre 1, découvert lors d’une lecture publique, dans « Page 99« . Essayé de traduire cet univers de blues, ce spleen de mélopée que provoquait ce long poème (quelque 110 pages) qui chantait le souffle de Chet Baker et pleurait sa subite disparition.
« De par son chant, Chet Baker est du côté des poètes. De par son Destin, il rejoint les tragiques. De son vivant, il enchantait… »
Ce confinement, était donc l’occasion, après une sévère sélection de pages, de prêter mon propre souffle à celui du poème de Zéno Bianu, de me laisser porter par le souffle de la trompette de Chet Baker.