Bali d'hier et d'aujourd'hui hors des sentiers battus.
INDAH, magnifique en indonésien, pour ses paysages, mais aussi paradis. Ce pourrait être BAGUS, excellent, pour son artisanat et ses arts ou encore ENAK, bon, pour la richesse de sa cuisine y compris dans le plus simple des warung. Mais encore TAMPAN ou CANTIK, beau ou belle, comme tous ces sourires.
De mi 2003 à mi 2005, 2 ans de vie professionnelle et de treks, nous ont permis de découvrir la Mauritanie. Villes, industrie minière, désert, oasis, côte atlantique et banc d'Arguin, savanes du fleuve Sénégal. Terre des hommes.
Ensuite, une collection de quelques albums, plus sélectifs, impressions fugitives d’un lieu, d’une ville, d’une région…
On me demande souvent, maintenant que nous sommes à la retraite, pourquoi nous restons dans notre appartement en banlieue parisienne. En quelques mots, car nous habitons une petite ville abritée par des bords de Seine, des étangs, une plaine agricole et une forêt. Mais aussi un ilot culturel entre sa bibliothèque, son cinéma d'Art et Essai (Le Pandora), son espace musical (Le Sax). Mais surtout pour sa proximité de Paris. Paris, c'est bien sûr une vitrine qui concentre ses monuments historiques et ultra-contemporains, mais surtout une humanité qui habite, nourrit, illumine ce joyau où nous aimons, été comme hiver, nous perdre.
Juin et juillet 2008. Deux mois imprévus pour flâner en Nouvelle Angletterre. Boston, l'intellectuelle, ville si européenne. Cape Cod, contraste entre nature protégée, villas luxueuses et pavillons en bois populaire. Remontée — nous avons essayé de randonner, mais il a vite fallu se rendre à l'évidence : point de salut en dehors des parcs nationaux ; bus et train entre les courtes promenades — vers Plymouth puis, encore plus au nord, jusqu'à l'Acadia National Park, immense, splendide, où entre dégustations obligées de homard (le plat le moins cher) et promenades sur les sentiers goudronnés pour éviter le pernicieux et urticant "poison ivy", nous avons refait le monde avec notre chaleureuse hôtesse.
Agadir, Taroudant, Rabat par des petites routes à la rencontre de quelques amis. Agadir, ville qui veut se développer trop vite, attirer nos retraités et vacanciers, entre béton et plages, promotion immobilière qui attend désespérément les clients. Taroudant, la fertile vallée de l'oued Souss dominée par le majestueux mont Toubkal, si traditionnelle, blottie derrière ses remparts. Casablanca, l'industrieuse, la bureaucrate, l'estudiantine exubérante. Maroc, un pays contrasté, haut en couleurs, séduisant, cherchant un équilibre entre tradition et occidentalisation.
Juin 2009. 20 ans que le mur est tombé. Monique a fait ses études avant, à Berlin Ouest, mais pouvait voyager à l’Est. Puis elle y a retravaillé ensuite. Elle fut donc notre guide pour une immersion, une promenade contrastée entre immeubles rutilants, friches taguées, silhouettes distinguées, corps dénudés sur les pelouse, musiques classiques ou échevelées.
En toutes saisons, que règnent soleil, brume ou glace, la baie de Somme est notre espace de décompression. Du banc de l'Illette, au Nord du Crotoy, jusqu'au phare du Hourdel, nous arpentons les plages ou les sentiers, nous traversons la baie. Un paysage changeant, une lumière fugitive qui fascine peintres ou photographes. Cette sélection est celle des photographies du livre "Entre ciel et terre, la baie de Somme" qui répondaient aux poèmes de Jacques Darras et Yvon Le Men.
Une commande. Des amis diéppois déménagent au Québec et veulent décorer de quelques photographies, leur murs. Ce sera pour nous l'occasion de découvrir la ville. Entre tempêtes et éclaircies, connivence de la lumière sévère et des géométries. Falaises, cabines et galets, port et mécanique. Envoutant.
Nous sommes allés plusieurs fois à Malte sur quelques décennies. L'Europe a beaucoup investit, remodelant l'Île et particulièrement La Valette. Si, aujourd'hui, la capitale est restaurée, plus propre et plus contemporaine, elle avait encore en 2007 ses autobus bariolés, ses icônes, ses décorations colorées, kitch ou naïves. Un régal.
Certaines photos peuvent être acquises en impression Fine-Art, sur papier brillant, satiné ou mat (format A4, A3 et A3+), encres pigmentées garantissant la tenue des couleurs au moins 100 ans. Impressions réalisées par nos soins. Ou sur Dibond chez un laboratoire que nous avons sélectionné.
Ces photographies sont imprimées en 9 exemplaires maximum, numérotées et signées par Chantal Delacroix. Un certificat d’authenticité est fourni avec le tirage. Il précise le lieu, la date de la prise de vue et donne les caractéristiques techniques du tirage..